Un élan de liberté à danser ! Les quatre danseurs de la compagnie David Rolland Chorégraphies, accompagnés par les musiciens live des Sassy Swingers, vous embarquent pour deux heures d’un bal indiscipliné. La thématique de la soirée est simple : les années folles. Mais pourquoi le choix de cette époque ? Parce qu’elles ont tout juste 100 ans. Mais aussi et surtout parce qu’elles sont le symbole du retour à la joie, à la liberté de danser.

ENTRÉE LIBRE SUR RÉSERVATION

À table avec les artistes à l’issue du bal, venez échanger et partager un repas avec les artistes. Plat unique / 12€. Places limitées sur réservation.

Avec In Situ, Jann Gallois pousse les murs et s’infiltre dans la ville pour nous offrir un moment hors de notre quotidien, une danse qui s’installe sous forme de jeu et défie les contraintes. Comment partager la danse ? Comment associer le public, le large public, à des situations de danse ? Pour beaucoup c’est impossible, la danse supposerait une grande technicité, et ne serait pas à la portée de tout un chacun·ne. C’est à cette problématique que Jann Gallois a voulu se confronter. Avec cette première pièce de la compagnie pour l’espace public, Jann Gallois descend du plateau pour interroger la question de la place et du rôle. Tour à tour manipulateurs/manipulatrices, chacun·e expérimente et questionne la justesse et la pertinence de sa propre mission au sein d’un groupe en perpétuelle transformation. De ce jeu de rôles et de places, les codes d’une coopération se révèlent progressivement ouvrant la voie vers l’objectif universel certainement le plus jubilatoire : danser ensemble envers et contre tout.

Avec In Situ, Jann Gallois pousse les murs et s’infiltre dans la ville pour nous offrir un moment hors de notre quotidien, une danse qui s’installe sous forme de jeu et défie les contraintes. Comment partager la danse ? Comment associer le public, le large public, à des situations de danse ? Pour beaucoup c’est impossible, la danse supposerait une grande technicité, et ne serait pas à la portée de tout un chacun·ne. C’est à cette problématique que Jann Gallois a voulu se confronter. Avec cette première pièce de la compagnie pour l’espace public, Jann Gallois descend du plateau pour interroger la question de la place et du rôle. Tour à tour manipulateurs/manipulatrices, chacun·e expérimente et questionne la justesse et la pertinence de sa propre mission au sein d’un groupe en perpétuelle transformation. De ce jeu de rôles et de places, les codes d’une coopération se révèlent progressivement ouvrant la voie vers l’objectif universel certainement le plus jubilatoire : danser ensemble envers et contre tout.

ENTRÉE LIBRE SUR RÉSERVATION

Création de la pièce Wall of love avec 40 danseur.euse.s amateur.rice.s !
Myriam Gourfink s’inspire d’une des figures emblématiques des danses pratiquées dans les concerts de Rock Métal : le « wall of death », autrement dit le mur de la mort, qui consiste à rassembler l’ensemble des participants du concert en un mur de corps, gigantesque. Mais ici point de dureté, c’est un mur de corps souples et élastiques, un mur de douceur qui s’érigera et s’évanouira lentement, timidement, en prenant le temps de prendre soin les uns des autres tout en respirant.

PARTICIPATION DES DANSEUR.EUSE.S AMATEUR.RICE.S AU THÉÂTRE DU BEAUVAISIS
Ateliers :
MAR 8.04 de 18h à 21h / grande salle
JEU 10.04 de 18h à 21h / grande salle
JEU 17.04 de 18h à 21h / grande salle
LUN 5.05 de 18h à 21h / grande salle
LUN 19.05 de 18h à 21h / petite salle
MER 21.05 de 18h à 21h / petite salle
LUN 26.05 de 18h à 21h / petite salle
MER 28.05 de 18h à 21h / petite salle
LUN 2.06 de 18h à 21h / petite salle
MER 4.06 de 18h à 21h / petite salle
MAR 10.06 de 18h à 21h / petite salle
Répétitions :
SAM 14.06 de 14h à 16h / grande salle
Restitution :
SAM 14.06 à 17h / grande salle

Inscrivez-vous : projetsparticipatifs@theatredubeauvaisis.com / 03 44 06 08 20

ENTRÉE LIBRE SUR RÉSERVATION

Une fresque chorégraphique variant de l’intime au choral, où les corps exultent pour un Requiem foisonnant et jaillissant de vie. Béatrice Massin est une musicienne de l’espace et une compositrice des corps. Ancrant ses racines dans la danse baroque, elle en réactualise les codes de spectacle en spectacle. Elle a collaboré au film Le roi danse, et à la série Versailles. Dans cette pièce pour douze interprètes, elle détourne le tragique au profit d’un hommage emprunté aux rites colorés et joyeux de la Fête des morts (Día de Muertos) au Mexique. S’ensuit une chorégraphie monumentale gagnée par la beauté d’une vague et d’un sentiment océanique qui envahissent notre regard. Une plénitude que la danse accompagne brillamment. Les douze danseuses et danseurs nous entraînent dans un voyage festif et coloré.

Un accueil musical par les élèves du Conservatoire du Beauvaisis est prévu avant la représentation de Requiem-la mort joyeuse le 29 avril à 19h.

Malgré les trois siècles qui séparent la viole de gambe de la naissance du Hip-Hop, les deux se confondent ici dans un spectacle plus intimiste que Folia mais tout autant fascinant. Mourad Merzouki, que nous accueillons régulièrement au Théâtre du Beauvaisis, nous offre à nouveau avec Phénix une rencontre inattendue comme il en a le secret. Continuant dans la veine du croisement entre le Hip-Hop et la musique baroque, il a cette fois-ci proposé à une violiste, Lucile Boulanger, d’accompagner avec sa viole de gambe les évolutions de deux danseuses et deux danseurs spécialistes des danses urbaines. La musicienne, loin d’être dissimulée dans une fosse, est au contraire partie prenante de la scène : elle est installée sur un dispositif mobile qui lui permet d’être intégrée à la chorégraphie, et de faire de la viole une partenaire des danseurs. On a véritablement l’impression qu’ils font corps avec les phrases musicales, qu’ils s’enroulent dans les volutes qu’elles créent. La pièce s’élabore tel un dialogue sensible et poétique entre les interprètes, et le hip-hop se fait fluide, élégant et félin.

Un accueil musical par les élèves du Conservatoire du Beauvaisis est prévu avant la représentation de Phénix le 24 mars à 19h.

Un quatuor danse/musique/lumière proposé par Magda Kachouche, jeune chorégraphe accompagnée par le Théâtre du Beauvaisis, pour une fête où vont se mélanger rires et larmes, dans une célébration dionysiaque de la joie d’être au monde. La rose de Jéricho est une plante
du désert, dite immortelle. Elle peut subsister des années à demi-morte, desséchée, inerte. Dès lors que la pluie tombe ou qu’on l’arrose, elle reprend vie. Dans La rose de Jéricho, on croit aux fantômes et à leurs visitations espiègles. On croit en la vibration de leurs présences dans nos corps et nos psychés, à leurs possibles réanimations. C’est une histoire de glissement, de mutation, d’un corps à l’autre, du passé vers le futur, du futur vers le passé. Une célébration de nos héritages, et de ce qui nous rassemble. La rose de Jéricho est un bal-concert, une cérémonie punk et colorée pendant laquelle on s’offre une fête avec les vivants et les morts, les visibles et les invisibles. On y pleure, on y rit, on y danse…

Sept interprètes pour un voyage méditatif sous la charpente séculaire de la grange médiévale, accompagné par les nappes sonores de Kasper T. Toeplitz, le complice de toujours. Ralentissez, laissez venir à vous l’ici et maintenant. Dans le cadre de notre partenariat avec le Festival d’Automne à Paris, nous avons le plaisir de vous proposer Rêche, la dernière création de Myriam Gourfink, artiste associée au Théâtre du Beauvaisis, après sa création au Panthéon. Dans cette pièce, il s’agit de donner forme à des volumes susceptibles d’absorber ce qu’elle nomme le rêche, « les comportements durs, rugueux à l’égard de soi-même et de l’autre » pour les convertir en douceur ; de se laisser saisir par des vibrations lumineuses et sonores qui, comme de délicates chambres à air, amortissent chaque geste et le ralentissent. Comme à son habitude, Myriam propose de créer un état d’envoûtement et de sidération, de favoriser une entrée dans une méditation enveloppante, en proposant à ses sept interprètes une lente évolution qui démarre au sol.

Conférence dansée : de la naissance du Breaking jusqu’aux Jeux Olympiques.
La conférence « De la rue aux Jeux Olympiques » donne au public les moyens de découvrir l’univers du Breaking et de comprendre toute sa philosophie. Pilier de la culture Hip-Hop, première culture au monde chez les jeunes, le Breaking a connu une ascension atypique depuis sa naissance au début des années 70 à New-York jusqu’à son entrée aux Jeux Olympiques de Paris 2024.
Mounir Biba, légende de la discipline 13 fois champion du Monde, saisi l’occasion pour inspirer le public à travers l’histoire du Breaking mêlée à sa propre histoire personnelle.