Œuvre majeure du XXe siècle, très injustement méconnue, le formidable Concerto pour violoncelle de Samuel Barber (1945) brille de tous ses feux virtuoses sous l’archet du jeune soliste luxembourgeois Benjamin Kruithof. Au même programme, l’éloquente évocation picturale de la compositrice britannique Judith Weir (née en 1954) pique notre curiosité, cela avant de retrouver le grand musicien américain dans son célébrissime et toujours émouvant Adagio pour cordes…