Création festive et participative
Magda Kachouche et la joyeuse équipe de BALATATA vous invitent à vous revêtir de vos habits de lumière et de vos baskets à l’occasion de ce bal-fiesta où nous célébrerons les danses, les corps et les cultures. Vous serez initiés aux étapes du bal, vous en connaîtrez le voyage et les escales, afin de faire pleinement partie de l’équipe et briller comme des étoiles parmi les étoiles. Aucun prérequis, si ce n’est l’envie de partager et de danser !
Duo d’artistes, Pierre Jean Bréaud et Guillaume Sendron sont acrobates. Ils ont poussé loin les prouesses techniques et ce n’est plus leur quête, pourtant leur goût pour le vertige reste entier et l’engagement physique est total. Leurs recherches se concentrent désormais sur des aspects plus subtils de leur pratique et les découvertes autour des notions du poids, de la relation et du déséquilibre ouvrent des champs tout aussi excitants à appréhender.
Forbon N’Zakimuena est un artiste engagé. À mi-chemin entre le flow du rap et la force du récit, il explore depuis longtemps les questions d’origine et d’identité. Dans sa troisième création au titre étonnant, il choisit d’interroger plus spécifiquement le processus de naturalisation et la francisation des prénoms d’enfants nés en France de parents étrangers.
Il y a pile 100 ans se créait à Moscou cette farce d’Erdman (l’auteur du Suicidé, déjà représenté à la MCA il y a quelques années), qui racontait l’histoire de deux familles après la chute du tsar, l’une issue de l’aristocratie et l’autre de la petite bourgeoisie post-révolutionnaire, tentant de s’allier pour conserver leurs places dans une société en mutation. La puissance tragi-comique de l’œuvre attira les foudres des autorités soviétiques, et lui valut d’être interdite : il faut dire que la charge subversive est puissante, dans ce « boulevard » féroce, absurde et corrosif ! Patrick Pineau convoque comme à son habitude un théâtre de troupe, fédérateur, populaire et généreux.
Embarquez avec La Tempête pour un voyage musical décoiffant dans le monde intemporel d’Orlando, l’illustre compositeur Roland de Lassus. Simon-Pierre Bestion nous en dresse un portrait sonore à sa manière, à la fois audacieux et envoûtant, et nous promet une nouvelle fois une soirée des plus réjouissantes.
Une pièce où l’on croise entre autres Lady Souris, Serpent Arc-en-ciel, Dingo et le Wombat pour une fable issue des légendes et traditions Australiennes. Dans ce spectacle, deux danseuses nous amènent, par les contes traditionnels d’Océanie, sur les chemins de cette île-continent
qu’est l’Australie, pays dont est originaire Joanne Leighton. Pays peuplé d’animaux étranges, parfois très hostiles, ou au contraire adorables, comme ce wombat au nez poilu, dont il est question ici.
Dans ce nouveau volet, notre héros est confronté à la vie à la campagne, et découvre le travail et la vie agricole dans une ferme. Nous finissons par bien le connaître ce Moi, puisque nous le suivons depuis J’ai trop peur, et J’ai trop d’amis. Nous le voyons passer de l’enfance à la préadolescence au fur et à mesure de sa progression scolaire. Dans ce nouveau numéro de ses aventures, Je suis trop vert, le voilà parti en classe verte, à la campagne, dans une exploitation agricole.
Le contexte radiophonique de cette adaptation du Mariage de Figaro de Beaumarchais est un parti pris aussi bien dramaturgique que scénique, qui permet l’inclusion de passages de la pièce en fiction radiophonique. Munis de casques audios, les spectateurs sont invités à être à la fois auditeurs et observateurs des six comédiens sur scène interprétant ces textes chuchotés au creux de leur oreille. La pièce s’appuie sur le texte original de Beaumarchais, qui souligne la nécessité de respecter les droits des femmes et de leur accorder des libertés et des droits égaux à ceux des hommes.
Les chanteuses et les chanteurs a capella embarquent le public au milieu duquel ils évoluent pour une expérience collective en chanson. La compagnie explore les liens entre polyphonie a cappella et mouvement, pour que la voix et le geste se fondent en un seul geste expressif. Quels appuis pour quelle intention ? Quelle relation à l’autre pour quelle texture sonore ? Les corps des artistes s’expriment avec tous les moyens à leur disposition.
Les chanteuses et les chanteurs a capella embarquent le public au milieu duquel ils évoluent pour une expérience collective en chanson. La compagnie explore les liens entre polyphonie a cappella et mouvement, pour que la voix et le geste se fondent en un seul geste expressif. Quels appuis pour quelle intention ? Quelle relation à l’autre pour quelle texture sonore ? Les corps des artistes s’expriment avec tous les moyens à leur disposition.